12 juillet 2008

[difool] reçoit Sarko, deuxième partie



La suite de l'extrait du mois de mai, ça fait 2 partout. Nico est dans les locaux de Skyrock, il fait son show devant l'équipe de Difool. Et puisque la dernière fois il parlait de la banlieue, il continue sur sa lancée avec sa notion de réseau, avec les délinquants mineurs et l'histoire de Mama Galledou. Impossible de rester neutre et objectif en écoutant ça: c'est gros! c'est très gros! et vous y avez cru :)

Enfin bref, Mama Galledou donc. Difool essaie de recalibrer le débat mais ça marche moyen. Et quand on demande à Nico s'il est content de se retrouver dans la station, il explique ses relations avec Skyrock et avec la Voix du Lézard, son ancêtre. Puis on revient sur les termes qui ont fâché: racaille, pédigrée ... Regrets ou pas regrets?

Ensuite, c'est très drôle: Difool se lâche au niveau vocabulaire et Nicolas tique un peu. Très drôle, d'autant plus qu'on parle aussi de Jacques Chirac. Encore plus drôle: Romano demande au futur président si ça lui arrive d'être vulgaire. Et ça colle parfaitement avec la fameuse histoire du "casse-toi pauvre con" au salon de l'agriculture:

- Mais ça vous arrive d'être vulgaire?
- La vérité? [...]
- Vous dites, par exemple, "putain fais chier", "mais quel con lui", "flûte" ?
- Je dis plutôt la seconde que la première.
- Flûte ?
- Non, con. Mais en vérité, ça m'arrive plus de le penser que de le dire.
- Ah vous vous retenez
- Oui, car quand on a des responsabilités, on est moins libre de dire ce qu'on pense et on doit s'imposer un certain respect des autres. La liberté de ton qui est votre marque de fabrique, et qui vous est accordée, je ne suis pas sûr qu'elle me serait accordée.

De fait :)
Ensuite, encore plus léger, Difool offre carrément un oinj à Nicolas, c'est sympa. Le calumet de la paix avec les quartiers de France. Fumera, fumera pas? Evidemment, c'est l'occasion de se retaper le débat sur les drogues douces, Difool qui revient avec son alcool et Nico qui veut pas lâcher l'affaire.







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Précédemment: Ségo deux.

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