
L'année suivante, il s'inscrit dans une école où donne cours ... coïncidence ... Jean-Loup Viseur. Décidé à tenter sa chance à Paris l'année prochaine, Thierry a besoin d'argent et cherche un job d'étudiant. Jean-Loup lui propose alors de devenir standardiste pour son émission de radio tous les week-ends. C'était en octobre 1982.
Après quelques semaines, il avoue à Jean-Loup et à l'équipe ses canulars de l'année précédente. C'est là qu'il apprend que la plupart des personnes s'étaient présentées au bureau de Jean-Loup pour réclamer fermement leur dû et que ce dernier avait longtemps maudi l'irresponsable crétin qui avait eu le mauvais goût de faire rêver les gens à ses frais. Pas rancunier pour un sou, il lui fait signer quelques mois plus tard un contrat de 8 émissions dominicales pour faire des canulars à la radio le matin. C'était en janvier 1983 et ça a duré 10 ans et demi.
En 1993 donc, François arrête définitivement son émission sur la RTBF et se consacre à la télévision, en parallèle à sa carrière de comique sur scène. Mais si cette dernière est un franc succès en Belgique, la télévision ne marche pas du tout. Mais c'est sans compter sur Laurent Ruquier qui cherchait des personnalités pour étoffer l'équipe de Rien à cirer sur France Inter car l'émission est devenue quotidienne. Se souvenant de François venu représenter la RTBF un an plus tôt lors d'une rencontre d'humoristes francophones à Radio France, il l'appelle et deux semaines plus tard, il fait partie de l'émission au même titre que Laurent Gerra, Laurence Boccolini, Anne Roumanof, Virginie Lemoine... Il y restera jusqu'à la fin (1996) écrivant presque quotidiennement deux textes par émission sur les invités ou sur l'actualité. Toute sa bio et bien plus sur son site officiel.
L'extrait d'aujourd'hui est composé de deux sons de deux époques différentes:
- d'abord un canular sur la RTBF où il appelle la Force Aérienne de Belgique pour postuler,
- puis une chronique avec Laurent Ruquier sur France Inter en face de Mireille. Pas évident.
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